Souvent je passais à côté...


et je ne te voyais pas.

Presque trois ans à tes portes.


J'étais pourtant jeune
ces trois années-là.
Mes yeux voyaient encore bien.
Et pourtant je ne te voyais pas.

Et puis, presque vingt ans plus tard,
sans te chercher, au grès de mes pas,
ma rue, ta rue.
ma vue, ta vue.
moi, toi.


Et un tout petit piaf.



Índigo, de trazos e imagen.

Entradas populares de este blog

Carta a Josefa, mi abuela, José Saramago

Los verdaderos poemas son incendios, Vicente Huidobro

Respuesta, José Hierro

Para ser Grande, Ricardo Reis

Obsesión del Mar Océano, Mário Quintana