Souvent je passais à côté...
et je ne te voyais pas.
Presque trois ans à tes portes.
J'étais pourtant jeune
ces trois années-là.
Mes yeux voyaient encore bien.
Et pourtant je ne te voyais pas.
Et puis, presque vingt ans plus tard,
sans te chercher, au grès de mes pas,
ma rue, ta rue.
ma vue, ta vue.
moi, toi.
Et un tout petit piaf.
Índigo, de trazos e imagen.
La primera vez que escuché la voz de la Piaf cantando "Non, je ne regrette rien", mi alma flotó en los árboles y nubes, esa sensación nunca me ha abandonado...
ResponderEliminarUn beso para ti, y otro extra porque ya se nos avecina un nuevo año.
Gracias por este ratito tan bueno... y por tantos otrso.
ResponderEliminarBesos a manos llenas.
me alegra ver un blog con cosas de parís...abrazos
ResponderEliminar