J'entends des bruits lointains. Et, soudain, meine kleine Nachtmusik. Mais mes yeux regardent les ailes de libellules que j'ai prises dans la rivière tout à l‘heure. L'une s'envole et atterrit sur mes paupières. Je vois mes doigts la prendre tout en douceur avant qu'elle ne parte trop loin. Et l'écho de murmurer : « Prise et cassée, ça ne va pas, toi ? ». Mais l’aile est têtue et, comme elle m'y incite, je la dépose sur la page de mon cahier pour qu'elle côtoie l'autre qui, muette, l'attend, d’un air félin.





Entradas populares de este blog

Carta a Josefa, mi abuela, José Saramago

Para ser Grande, Ricardo Reis

En el vórtice

Calle leve, como trazo de llamas separando, António Franco Alexandre

Dime tu nombre ahora que perdí, Maria do Rosário Pedreira

Que ningún otro pensamiento me doliese, Herberto Helder